Scénická vyhlídka

Port de Saint-jean-de-Luz.

Doporučuje 22 místních,

Tipy místních

Diego
April 16, 2019
Lo que durante el siglo XVII fue la base de los corsarios vascos, se ha convertido en un relajado destino turístico de veraneo. San Juan de Luz se sitúa en una tranquila bahía con forma de media luna y con una hermosa playa de fina arena. También presume de un centro histórico lleno de coloridas casas vascas con entramados de madera. Se trata del lugar ideal para familias o parejas en busca de calma bajo el sol mientras se disfruta de la magia de una época pasada.
Lo que durante el siglo XVII fue la base de los corsarios vascos, se ha convertido en un relajado destino turístico de veraneo. San Juan de Luz se sitúa en una tranquila bahía con forma de media luna y con una hermosa playa de fina arena. También presume de un centro histórico lleno de coloridas cas…
Anna Rita
January 30, 2020
Classé parmi les grands ports Français, le port de Saint-Jean-de-Luz marque l’histoire de la pêche basque.
Patrick
November 21, 2016
Port de Ciboure/St-Jean
Vincent
June 5, 2020
C’est l’un des grands ports historiques de France, un patrimoine de Saint Jean de Luz. Vous serez peut-être surpris d’apprendre qu’au 15ème siècle et jusqu’au 17e siècle, on pêchait la baleine en Côte basque. A cette époque, le Port de Saint-Jean-de-Luz est parmi les grands ports Français de pêche à la baleine et à la morue. Les Basques sont de hardis navigateurs, habitués à affronter la mer et tous ses dangers pour la pêche proche ou lointaine. Ils ont appris des Vikings, avant même qu'ils ne fussent devenus les Normands, l'art de la chasse à la baleine dès les VIlle et IXe siècles. Les cétacés viennent jusqu'au long de nos côtes : les guetteurs signalent leur présence depuis les tours de guet édifiées sur les falaises, et les embarcations se lancent à l'assaut. La chasse à la baleine et la pêche à la morue sont florissantes, le commerce aussi, et la "Course" fait son apparition. La "Course" contribua largement à la fortune de la Ville. Certainement un jour, l'occasion se présentant, probablement le besoin aussi, quelque baleinier se trouvant à court de vivres, d'eau, de poissons, arraisonna-t-il un navire marchand rencontré par hasard ? Ces pratiques prenant rapidement des proportions extraordinaires, les interdire devenait impossible : on transforma ces hommes en corsaires, en les soumettant à une charte qui imposait des règlements stricts à ces marins qui ne faisaient pas partie de la marine royale. Dans cette transformation, le Roi et son trésor n'étaient pas perdants, car les prises étaient partagées de façon bien précise. La course donna des résultats magnifiques à Saint-Jean-de-Luz, comme à Dunkerque ou à Saint- Malo. Imaginez-vous à Saint-Jean-de-Luz aux XVIIème et XVIIIème siècles : il y a de fortes chances que vous y croisiez quantité de corsaires. Aujourd’hui, certaines rues portent encore leurs noms. Et Saint-Jean-de-Luz était surnommé le « Nid de vipères » ! Dès le XVIIème siècle, les anglais craignaient les redoutables pêcheurs basques reconvertis en corsaires. En effet, leur réputation était grande et ces derniers étaient si doués que les prises étaient abondantes. Nombreux sont ces capitaines luziens qui embarquaient à bord de frégates, brigantins ou goélettes équipés de canons, et qui sillonnaient les mers pour « courir sus » aux bateaux ennemis. Un des plus célèbres est sans nul doute Johannès de Suhigaraychipi, dit Coursic. Il captura à lui seul plus de cent navires. Même Louis XIV avait eu vent de ses prouesses. Une lettre du Duc de Grammont, adressée au roi, vantait les exploits de Coursic. Elle stipulait que « Sa Majesté pourrait aller de Saint-Jean-de-Luz à Ciboure sans se mouiller les pieds en empruntant les ponts des bateaux pris à l’ennemi ». Mais c’est surtout au XVIIIème siècle, lors des guerres de successions, que la course atteignit son apogée. A cette époque, la ville comptait une quarantaine d’armateurs, possédant chacun plusieurs navires armés, et dont on peut encore admirer certaines maisons dans le quartier historique. Le plus fortuné était Jean Peritz de Haraneder, Vicomte de Jolimont, descendant d’une longue lignée de navigateurs et qui détenait à lui seul dix-huit bateaux. D’autres corsaires et armateurs ont marqué l’histoire de Saint-Jean-de-Luz comme les Chibau, Hayet, Saint Martin, Cépé. En flânant dans la ville, vous pouvez retrouver leurs noms gravés sur une dalle commémorative ainsi que sur les plaques de certaines rues qui rappellent leurs aventures. Au milieu du XVIIe siècle, il fallait, néanmoins, déjà remonter jusqu’au Spitzberg, au Groenland ou à Terre-Neuve. Le temps des baleines est fini, mais c'est un vrai port de carte postale avec ses bateaux peints de couleurs vives, ses filets amoncelés, son odeur de saumure et un délicieux concert cristallin joué par le ponton sur pilotis, qui roule avec la marée. Le port luzien anime la ville, par ses sorties en bateau et son esprit des lieux typique. On y pêche l’anchois, le thon et le merlu. Une véritable économie pour le Pays Basque, avec des mareyeurs actifs et des chalutiers de haute mer réguliers. La filière pêche assure plus de 600 emplois ici. Un point stratégique et dynamique pour la ville, entre histoire et modernité économique. Environ 10 000 tonnes de poissons d'une centaine d'espèces différentes sont débarquées et commercialisées à la criée de Saint-Jean-de-Luz/Ciboure tous les ans ce qui place cette criée au 6ème rang en valeur sur 36 en France. Le Merlu de ligne de Saint-Jean-de-Luz : C'est une pêche artisanale qui se pratique à bord d'un ligneur (petit bateau équipé de lignes à hameçons) qui privilégie la sélection qualitative plutôt que quantitative. Vous pourrez acheter du merlu de ligne chez les poissonniers sous le marché couvert de Saint-Jean-de-Luz. Excursion maritime avec "la Nivelle" depuis le port de Saint-Jean-de-Luz Les départs et retours se font du port d'avril à mi-octobre. Premier départ à 14h00 : l'excursion dure 1h45 et longe toute la côte de Socoa jusqu'à l'embouchure de la Bidassoa (baie de Chingoudy). Deuxième départ à 16h00 : l'excursion dure 45 minutes, la Nivelle sort de la baie de Saint-Jean-de-Luz et longe la côte en direction d'Hendaye avant de revenir au port de Saint-Jean-de-Luz.
C’est l’un des grands ports historiques de France, un patrimoine de Saint Jean de Luz. Vous serez peut-être surpris d’apprendre qu’au 15ème siècle et jusqu’au 17e siècle, on pêchait la baleine en Côte basque. A cette époque, le Port de Saint-Jean-de-Luz est parmi les grands ports Français de pêche à…
Mathias
January 21, 2019
mythique petit port de pécheurs

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Lokalita
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